Le « crowdfunding » pourrait être une bonne option. Cela
consiste à faire appel à des dons volontaires pour faire financer un projet.
Beaucoup de projets technologiques se font financer de cette
manière par des sites comme Kickstarter. Un professeur de l’Université de Mary Washington aux Etats-Unis
avait réussi à obtenir quelques milliers d’euros par cette voie pour
lancer son cours en ligne, de quoi financer les serveurs qui l’hébergeaient.
Les contributeurs les plus généreux gagnaient des T-shirts et des cadeaux avec
le logo du cours.
Une autre possibilité est l’appel à dons, qui, à l’inverse du crowdfunding, intervient après le déroulement du cours.
Ces deux solutions
permettent de garder un cours gratuit en ne faisant appel qu’à des dons
volontaires.
Mais en réalité, il est peu probable que la somme d’argent récolté
soit suffisante pour couvrir le cout total du MOOC. Il faudrait inventer des
plates-formes de crowdfunding spécifiques pour les MOOCS.